Tuesday, June 14, 2011

BLOG sur un ordinateur allemand-- sans accents! Les Fermes francaises

La premiere semaine de la premiere ferme- 2 juin 2011

Pour mon stage, je vais rendre visite à trois fermes laitieres, dans trois régions différentes dans le pays de France. Chaque entreprise sera différente que les autres. Je fais cette voyage avec ma sœur, Elizabeth (Lizzie), qui parle le français aussi (grace aux obligations de langue de LS&A).

La premiere ferme est dans le département d’Aude, dans le sud de la France. Les proprietaires sont Laila et Peter Wudesahl, et la ferme produit du frommage des chevres. Le « Chevre de Calas » est une tres petite entreprise—Laila, Peter, une française qui s’appelle Monique, et leurs WWOOFErs sont les seuls travailleurs. Quand je suis arrivée à cette ferme, ma premiere impression était de celle de beauté. La ferme est encerclée par des collines vertes, avec beaucoup d’arbres. Pour les premieres quatres journées apres mon arrivée, il pluvait, et les chevres ont du rester dans la laiterie.

La ferme a soixante-six chevres laitieres et quelques chevrettes ; elle a aussi des chevaux, des anes, des cochons, et des poulets. Il y a plusieurs batiements, y compris une usine (dans le barn) pour la fabrication du frommage. On prooduit trois types différents de frommage : le frommage frais (pas fermenté), le frommage avec raifort, et les frommages aux ail et fines herbes. Chaque type de frommage est vendu dans quelques récipients de tailles différentes. Cette ferme vend uniquement leur chevre. Les fermiers achete tous de ce qu’ils ont besion. Ils ont une petite potager pour leurs propres besions, et ils cultivent l’alimentation ou le paille pour leurs animaux (les chevres mangent des céréales et des foins).

Pour les premieres fois, Laila supervise ma sœur et moi quand nous faisons la traite. Pour commencer, on doit apporter les chevres des champs avec l’aide des chiens de berger. Les chevres portent des cloches, qui sont tres bruyantes et donc tres utiles. Apres que les chevres sont dans la laiterie, on les traitent avec des trayeuses en groupes de seize out dix-sept. Le lait est permis à resté pendant vingt-quatre heures, pendant que on ajoute le rumen. Apres cette période, on sépare le petit lait du lait caillé. Les cochons mangent le petit lait, et le lait caillé, qui est sec maintenant, sont utilisées pour le frommage. Les mélanges pour les frommages sont faites par Monique, la française qui travaille le mardi et le jeudi. Monique est tres amusante—elle aime me donner les « leçons de vocabulaire » vis-a-vis la fabrication du frommage. Laila et tres gentille penadant la période dans laquelle Lizzie et moi apprennent comment fabriquer leur produit. Elle est enseignante excellente.

Le machine pour faire le traite les chevres est tres compliqué. Je vais parler plus de cela dans l’avenir, mais c’est une processus tres longue. Celui-ci est ma premiere foir de travaillant avec les animaux laitieres ; donc, il y a beaucoup d’apprendre.

Apres nous avons appris beaucoup, Lizzie et moi font le traite dans le matin, à 8 heures du matin (les chevres doit etre milked une deuxieme fois dans le soir, à 19 et demi heures). Apres nous avons fini, nous travaillons dans l’usine. On aide Monique et Laila avec le conditionnement des frommages. Cette partie de la travaille n’est pas aussi difficile que l’utilisation du trayeuse Meme si le travaille est quelquefois difficile, je me sens que j’apprends beaucoup.

5.6.11

Aujourd’hu’ai participé en une « tradition des paysans français », selon Laila (la propriétaire de ma ferme). Elle s’appellait « Transhumance », et elle se composait de l’achemninement des animaux de paturage sur les champs en haut, dans les montagnes, pour l’été. Cet événement a lieu deux fois chaque année : le primtemps (pour les apportent aux montagmes) et l’automne (pour les retourner aux collines). Les hommes, avec les batons, ont dirigés les animaux sur les rues et en les villages pendant toute la journée jusqu’aux ils étaient dans leurs pastures de l’été. Les touristes, comme moi, ma sœur, et Laila, ont les suivis pendans le journée. On a suit un troupeau de vaches grises, et notre vogaye a fini en haut de la limite des arbres dans les Pyranées. En fait, (je suis tres fiere !) nous étions les dernieres touristes, les seules tourietes de marcher la route entiere. C’était tres loin (on a marchait pendant 8 heures !) et le rue était dans les montagnes ; donc, il y avait des parties de la rue tres difficile.

Cette processus était un peu choquant pour moi, parce que aux Etats-Unis on ne travaille pas avec leurs animaux de cette maniere tres intime. Les fermiers américains ne marcherait jamais avec leurs animaux pendant une journée entiere, dans les montages. Ces fermiers français ont, je pense, une vraie relation avec leurs animaux, qui est quelque chose que les fermiers américans manquent. Laila m’a dit que les fermes d’usine ne sont pas légales en France, et je pense que c’est une meillure maniere de produire le viande.

7.6.11

Hier on a visité le marché d’une village de Mirpoix. C’était un autre exemple d’un différence entre la France et les Etats-Unis. Ces types de marchés éxistent aux Etats-Unis, mais mon impression du marché de Mirpoix est que c’est la façon normale d’acheter la nourriture pour beaucoup de ces personnes. Les fermiers avec lesquels je travaille ne vendent pas leur frommage dans le marché parvce qu’ils disent qu’on gagnera plus de l’argent avec les magasins. Une entreprise qui vendenrt dans les magasins a plus de clients, souvent, qu’un qui vendent dans le marché, selon eux. Et en plus je trouve le marché plus agréable que les super-marchés impersonnels aux Etats-Unis. Nous avons acheté quelques légumes et des vetements, qui étaient tres économique et d’une bonne qualité. Il y avait beaucoup d’autres fermiers qui vendaient le frommage, et quelques uns vendaient, spécifiquement, le chevre. Le concurrance ! Mais c’était un expérience tres gentil, et dans l’avenir je vais revenir, peut-etre.

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