Tandis que mon séjour à Megève était très court, pendant ces onze jours j'ai mangé des plats merveilleux! En travaillant à cette colonie de vacances au milieu des Alpes françaises, il y avait un restaurant formidable où chaque enfant--et bien sûr chaque animateur--a mangé tous les repas. Cependant, ces repas n'étaient pas du tout ordinaires.
Le deuxième plat ? Le plat principal. Vito a réjoui nos papilles gustatives avec des spécialités culinaires comme le bœuf bourguignon, le canard à l’orange, et la tartiflette, qui était un cauchemar culinaire au quelqu’un qui est intolérant au lactose (comme moi) mais néanmoins absolument délicieuse. C’était la première fois que j’ai mangé de la tartiflette, qui était un mélange de pommes de terre et de reblochon. Exquise. Et enfin, le plat final était toujours délicieux. Mon dessert préféré ? Le flan.
Il n’y avait qu’un plat qui était dégoutant pendant ces onze jours… le hamburger. Il me semble que seulement des Américains peuvent faire cuire un hamburger parfait ! Néanmoins, les plats du Vito étaient des meilleurs éléments de cette colonie de vacances. Le détail qui a accompagné chaque morceau de laitue, par exemple, a renforcé l’importance de la cuisine française dans la culture française. Et quoi que les portions des plats étaient plutôt petites—comparées aux portions américaines et donc un autre exemple d’une différence culturelle entre ces deux pays—Vito a toujours demandé aux clients si nous étions gorgés de nourriture. Quelque chose d’intéressante que j’ai remarquée en ce qui concerne la nourriture, cependant, était le fait que les enfants n’avaient pas aimé ces spécialités. Cependant, à mon avis, ce fait avait beaucoup du sens, et je ne pouvais pas comprendre pourquoi personne ne s’est rendu compte de cela. Quelque chose qui est constant, malgré le pays, est le développement des papilles gustatives des enfants. L’enfant normal ne mange ni gaspacho ni canard aux olives. C’est la vérité pure et simple. Donc, tous les animateurs ont mangé la plupart des plats non consommés des enfants, et alors, j’imagine que cette situation était en fait un bienfait caché !
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